Organisation et équipe
Pour atteindre ses objectifs, la cohorte CKD REIN a su fédérer un grand nombre d’expertises de disciplines différentes mais complémentaires issues du monde académique et du monde industriel. Des centaines de professionnels et des milliers de participants sont ou vont s’engager sur de nombreux sites à travers la France. Un schéma de gouvernance par comités est mis en œuvre pour garantir la meilleure efficacité du dispositif collaboratif de l’étude.
La cohorte est développée sous la responsabilité scientifique de l’Inserm. Bénédicte Stengel, directrice de recherche Inserm au Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations (CESP), unité mixte de recherche Inserm-Université Paris-Sud en assure la coordination nationale. Les partenariats industriels ont été construits grâce à Inserm Transfert.
Le Comité de Pilotage
C’est l’instance dirigeante de l’étude. Il est constitué de membres désignés par chacune des Parties signataires. Il a notamment la responsabilité scientifique et organisationnelle de l’étude et a la charge d’entériner les choix scientifiques et organisationnels majeurs.
Le Comité Scientifique
Il est composé de vingt experts scientifiques, français ou internationaux, externes à la Cohorte et disposant de compétences dans le domaine de l’étude.
Il a notamment pour mission de proposer des orientations scientifiques stratégiques de la Cohorte et prendre les décisions en matière de choix scientifique.
Le Comité Industriel
Il est constitué d’un représentant de l’ensemble des Partenaires Industriels ayant signé une Convention de financement avec l’Université Paris Sud. Il a notamment pour mission de proposer des orientations stratégiques du projet au regard notamment des besoins des Partenaires en termes de qualité ou de standards industriels.
Le Comité d’Ethique
Il est composé d’au minimum quatre membres français ou étrangers, disposant de compétences dans le domaine de l’éthique, dont un clinicien spécialiste de la pathologie et des thérapeutiques étudiées et un représentant des associations de patients.
Il aide notamment à définir la bonne application des réglementations relatives à la protection des personnes et à la protection des données.